Icare

Michel (Batterie) et Marc  (Guitare). C’est pas jeune…

 

Moi je sais celui de qui le mal n’aura jamais connu de fond

Homme il était né si beau que d’homme il avait refusé le nom

Pour cet affront les dieux l’avaient puni d’un sort et c’était son destin

Que sa beauté fût cachée sous un masque de laideur et de chagrin

 

Parce qu’en découvrant le ciel les hommes avaient désappris à voler

Parce qu’il perdaient leurs trésors pour n’avoir jamais su les regarder

Il les maudit d’un geste de ses ailes, et il était oiseau

Oiseaux, attendez-moi - Homme tu restes, et tu es leur jumeau

 

Je ne suis pas pareil, je ne suis pas pareil

Regardez j’ai des ailes et le vent dans le dos

Je ne suis pas pareil et de mon ancien rêve

Il ne reste qu’une ombre au sein de leur troupeau

 

(instrumental)

 

 

Au-dessus des montagnes au-dessus des vallées

Je vole vers le soleil, vers le soleil

Si j’étais parmi vous il y a bien longtemps

Maintenant je suis libre

 

Ils sont partis vers le soleil

Le ciel n’était pas assez grand pour les arrêter

Mais quand Icare et les oiseaux arrivent dans la tempête

Que seuls les aigles peuvent traverser

Ses bras sont devenus de pierre

Et vers le sol il est tombé

 

Moi je sais celui de qui les yeux ont pleuré loin sur l’horizon

Sans se retourner droit vers le nord les oiseaux suivaient leur chemin

Ses yeux se sont fermés longtemps après, et c’était son destin

Homme il était né et d’homme il avait refusé le nom